dimanche 29 novembre 2009
La princesse charmante existe-t-elle ??
Cette après-midi, j’ai U un semblant de discussion avec deux garçons.
Dans le but de préserver leur anonymat, nous les appellerons E et W. Ces deux jeunes hommes sont charmants, intelligents, incroyablement gentils. Ils sont aussi sportifs et ont de l’humour. Des gars parfaits n’est ce pas ??
Oui mais … car il y a un mais !! Si, si, ils existent :p
Mais, E et W n’ont vraiment pas de chances avec les filles. Je ne les connais pas vraiment mais à lire leur profil Facebook, j’ai l’impression de voir des petits morceaux de leur propre cœur éparpillés partout autour d’eux.
C’est le moment où je m’interroge … avec-vous remarqué que le mythe du prince charmant, de la princesse qui cherche l’amour est toujours envisagé d’un point de vue féminin. Je crois pouvoir avancer que 99% des comédies romantiques que j’ai vu concernent la recherche de l’amour d’une jeune femme. Elle a toujours le cœur brisé par un beau « co**ard » et décide de ne plus croire à l’amour oui voilà, il y a le fils du pâtissier qui passe par là et … on connaît tous la suite.
Par contre, les films où c’est un célibataire le héros sont très rares. Est-ce parce que les gars n’ont pas d’idéal féminin ? Parce que la recherche de l’amour c’est « un truc de fille » ?
Après tout, les garçons aussi ont un cœur et même que parfois ils s’en servent pour tomber amoureux … d’ailleurs la plus belle histoire intergalactiquement connue a été écrite par un certain Shakespeare … preuve que les gars aussi savent être sentimentaux !
Malheureusement pour eux, ils connaissent le principal danger d’une histoire d’amour. Gagner seulement un cœur brisé !
Certains garçons géniaux perdent parfois au jeu de l’amour. Ils ne leur restent alors qu’un cœur brisé.
Sur ce coup là, la solidarité féminine n’existe pas.
C’est vrai quoi, en tant que célibataire, j’enrage de voir que ces filles qui se comportent comme des égoïstes ont une chance incroyable mais qu’elles la gâchent sans se soucier des dommages collatéraux !!
Du coup, ces gentils garçons qui ne sont PAS « trop bons, trop cons » parlent d’avoir juste des PCR …
PCR …
Si vous êtes comme moi, vous devez vous demander mais c’est quoi un PCR ?
Plan Cul Régulier !
Parfaitement ! Après, il ne faut pas s’étonner que des filles normales, celles qui croient au prince charmant ne trouvent personne. Il ne reste que les gars salement amochés ! Et à nous de composer avec ça !
Non mais sérieux, des plans cul réguliers … pffff :p
Puis, ce qui me chagrine le plus, c’est que ces garçons malchanceux n’ont aucun exemple, aucune histoire à laquelle ils peuvent se raccrocher pour rester optimiste!
Quand, j’ai peur de rester célibataire pour le reste de mes jours à cause de mon fichu caractère, je pense toujours à Orgueil et Préjugés.
Quand j’ai peur de ne jamais trouver l’amour, je pense à 7 jours pour une éternité.
Et ça continu avec pleins d’autres histoires.
Du coup, comment faire comprendre à E et W, que l’amour ça existe vraiment et que nous sommes pas toutes pareilles ??
Si quelqu’un à la solution, je suis partante. Ca fera le bonheur de 5 personnes : E et W, leurs chéries et moi. (Car j’aime les histoires d’amour ;) )
samedi 3 octobre 2009
La douceur du miel.
Depuis le ramadan et un coup de foudre pour une pâtisserie de mon boulanger, j'ai envie de cuisiner avec du miel. (Le pain d'épice est trop fort pour moi)
En France, nous ne sommes pas trop connus pour cuisiner avec le produit des abeilles.
En revanche, il y en a qui gèrent ça très bien ... Vive les pâtisseries orientales !
Première difficulté : trouver un bon livre. Cela parait simple mais à part des livres sur le coucous ou les tajines, ben il n'y avait rien à Gibert, à Cultura, à la Fnac et Castela. Même résultat à Virgin ... sauf que là, il y avait une très gentille vendeuse qui a pris quelques minutes pour en chercher un. J'ai donc commandé "Pâtisseries orientales" chez Hachette Pratique.
Une semaine après, j'avais ce fameux livre entre les mains (juste avant la séance de sport du vendredi midi ^^)
Le lendemain, j'ai donc testé les samsas au miel. C'est aussi simple que bon.
Des amandes en poudres, du miel et un peu de sucre.
Des feuilles de bricks (la deuxième difficulté est de faire des triangles corrects.)
Une poêle et de l'huile.
Du miel pour faire tremper les samsas une fois qu'ils sont dorés. Oui oui, tremper ! Ils doivent être entièrement recouvert de miel. En fait, je les ai trempés immédiatement à la sortie de la poêle et j'ai attendu qu'ils refroidissent pour que le miel durcisse un peu et ne dégouline pas partout.
Troisième difficulté : ne pas tous les manger en trente secondes chrono !
C'est vraiment très bon. Je pense que ces samsas vont faire partie des gourmandises que je préfère.
Pour un bon gouter de fin d'été :
- Prendre une jolie tasse
- S'en servir pour se préparer un thé à la menthe très chaud
- Mettre quelques samsas tièdes dans une assiette
- Disposer le tout sur un plateau (*)
- S'installer dans un endroit calme
- Savourer !
(*) Il est beau ce plateau n’est ce pas ?? Normal, c’est moi qui l’ai fait !! Se sont des vrais morceaux d’oranges séchés qui sont pris dans de la « pâte de verre ». Un truc qui coûte super cher mais qui rend très bien ;) On peut manger dessus et ça se nettoie simplement avec une éponge humide. Les « bords » du plateau sont recouvert de papier recouvert de vernis colle.
dimanche 13 septembre 2009
"Et oui, c'est la reprise" comme dirait Zizou ...
Il y a des jours où l’on est surpris qu’il soit déjà si tard alors qu’on a strictement rien fait de la journée. Sachant que ce WE était mon dernier WE de vacances, je l’ai laissé filer sans penser à regarder l’heure.
La nuit commence à tomber, mettant un terme définitif à mon été.
Demain, c’est ma rentrée. Ma rentrée en troisième troisième année. Je suis partagée entre l’envie de fuir en Sibérie et une impatience (incompréhensible) d’y être déjà.
Mon sac est prêt, ma tenue aussi. L’ordinateur, le portable et mon appareil photo sont chargés. javascript:void(0)
Je suis en train de renouveler les chansons de popod et mon livre est choisi. (Orgueil et Préjugés pour m’aider à passer le cap. Je ne lirai sûrement pas entier, j’en ai juste besoin pour le premier jour).
Je n’ai toujours pas fait le deuil de mon redoublement et de mon départ raté pour Bordeaux. On a coutume de dire qu’il y a cinq étapes dans le deuil.
Le déni : je savais que je redoublais mais je n’y croyais pas. Je ne suis pas allée voir mes résultats pour ne pas avoir la confirmation de mon plantage. Quand j’ai changé mes vœux pour la bourse, sur 4 vœux, 3 sont restés pour Bordeaux. Juste au cas ou …
La colère : Colère d’avoir raté. Jalousie de voir les autres réussir. Colère de rester derrière. Culpabilité d’être jalouse. Colère car en vrai je ne savais pas quoi faire et je me sentais emprisonnée dans mes choix disponibles. Sachant que de toutes façons, je ferais comme d’habitude, je ferais le choix le plus raisonnable. Colère de savoir que je ferais ce choix même s’il n’allait pas me plaire.
L’étape du marchandage : heu celle là, je l’ai zappé … on marchande des choses qu’on peut ou pense pouvoir obtenir. Une licence, même si on pleure beaucoup, même on hurle très fort ben ça n’arrive pas comme par magie dans la boite aux lettres.
La dépression : Cette étape semble ne pas avoir de fin. J’ai l’impression que cet état me colle à la peau. Je lutte, parfois je gagne, parfois je perds.
L’acceptation : Celle là, je l’attends …
Pour terminer mes vacances, et conclure ce WE en ayant malgré tout l'impression d'avoir fait quelque chose de ma journée, j’ai préparé un gâteau genre pain d’épice : avec du miel et un mélange d’épice. Je suis déçue, on ne sent pas le goût du miel et en plus, il est un peu sec … Je dois absolument trouver un livre de recettes sur « comment cuisiner le miel ».
Humeur : mélancolique.
Musique : aucune.
Envie de : savoir ce qui m’attend …
Livre : Le tome 10 et le 11 de l’Epée de vérité. Je lis un peu d’un, un peu de l'autre … ils sont en anglais, même pas je vous raconte le bazar mdr
Petit bonheur : Je vais enfin pouvoir étrenner mon nouveau sac Lollipop spécial fac ^^
Petit malheur : ne pas savoir ce qui m’attend :p
vendredi 28 août 2009
Dans la vie, il y a des choses qui me font peur : les araignées, rentrer seule la nuit, avoir un accident de voitures, les requins ou les monstres marins, les vagues trop grosses qui m'empêche de remonter, les hommes trop machos, la solitude ...
Puis il y a des choses qui me terrorise. Me paralysent et me détruisent à petit feu. Dans cette catégorie on trouve : mes échecs, les disputes de mes parents et mon père !
Je peux gérer les premières choses. En serrant les dents et en puisant tout au fond de moi, je suis capable d'écraser une araignée, de conduire, de marcher sur le petit chemin non éclairé derrière chez moi pour revenir de la fac à 20h en plein hiver etc.
En revanche, les choses de la seconde liste, je ne sais pas quoi faire. J'ai beau serrer les dents, m'imaginer ailleurs, augmenter le volume de la musique. Rien n'y fait.
L'année dernière, à la même époque, "on" m'avait promis que je serai libre dans un an. J'avais encore plus de 300 jours à tenir mais après, je serai tranquille.
C'était faux et archi faux. Et maintenant je dois me taire et encaisser une année de galère supplémentaire !?!
Et je fais ça comment ? Il n'y a que dans Kill Bill que l'héroïne enterrée vivant revient à la surface ...
Je reconnais que cette année, j'ai peut être une alliée ... ma maman. Mais c'est pire, je dois en plus porter la culpabilité de son malheur quand elle prend ma défense !
Life sucks ;)
Si jamais quelqu'un à la solution pour ma survie je suis acheteuse. Les antidépresseurs ne comptent pas lol
Humeur : épouvantablement pessimiste.
Musique : une berceuse secrète pour me consoler.
Envie de : liberté et de paix.
Livre : aucun
Petit bonheur : cette aprem, j'étais au ciné. L'abominable vérité est un film très drôle.
Petit malheur : aucun ... juste des gros :p
vendredi 10 juillet 2009
A la guerre comme en amour ...
A la guerre comme en amour …
De retour de Brest … enfin, tout est relatif. Je suis dans le train depuis 9H ce matin mais j’arriverai à Toulouse que ce soir à 21h15.
Il est 12h16 … il me reste encore quelques heures à passer dans cet objet roulant identifié.
Je suis partie il y a exactement 19 jours. C’est la première fois que je passe un moment aussi long en dehors de la maison.
Je suis mitigée à l’idée de rentrer. Vivre sur une base avec des gens qui pensent pour vous est très rassurant. On se sent à l’abri, les intrus ne sont pas autorisés et il y a des règles pour tout (mais aussi n’importe quoi).
Je suis un peu triste de quitter ce club med marine (visites de bateau, sorties en mer, balade en bord de mer, barbecue etc)
Je suis beaucoup triste de quitter certaines personnes sans avoir U le temps de faire ce que je voulais vraiment. Je sens que je vais regretter de ne pas avoir assouvis une envie d'un baiser sauvage et caché pendant encore quelques temps :p
Je suis soulagée de rentrer. Je commençais à me perdre en cours de route : passer toutes mes soirées de libre dans un/des bars, raconter mes sentiments à un peu tout le monde, trainer qu’avec des mecs … Il se peut aussi que j’ai un peur de ce que j’aurai pu devenir à rester là bas. Oh non, je ne dis que j’allais passer de la fille sage à la fille qui fait n’importe quoi. Simplement il est possible que l’influence militaire, du groupe me soit plus néfaste que je ne le pensais.
Je suis pressée de rentrer pour me retrouver : avoir le temps de lire, dormir quand je veux et surtout jusqu’à l’heure que je veux, de pas devoir petit déjeuner de 6h30 à 7h, déjeuner de 11h30 à 12h30, diner de 18h30 à 19h.
Je suis contente de rentrer pour récupérer trois semaines de courtes nuits (je ne comptes pas les semaines de révision avant mon départ …)
Je suis très contente de rentrer pour éviter une certaine personne.
Maintenant, je vais devoir digérer un regret, des remords, essayer de redevenir moi (la fille trop sage mais fidèle à elle-même).
Boire pour oublier, c’est d’une banalité effarante ! Je m’en veux d’avoir voulu faire comme tout le monde alors que je ne suis pas ce genre. Cependant, je dois avouer que sur le moment c’était très drôle ! C’est toujours ça de pris !
Je dois aussi m’inscrire sur facebook … je vais renier un de mes principes (un de plus, un de moins, question d’appréciation mdr)
Il se retrouve que pour rester en contact avec les gens, il semblerait que ce moyen soit le seul qui existe au monde.
Les gens ne veulent pas être fichés mais voilà qu’ils sont prêts à donner tous les détails de leur vie sur ce site mondial … faudrait qu’on m’explique !
Certes je m’inscris sur facebook, mais je vais suivre les bons conseils d’Antoine (un gentleman, un vrai ;) ). A savoir mettre mon nom, mon age et basta. Le but n’est pas d’étaler ma vie (j’ai ce blog pour ça) mais je pouvoir garder un lien avec les gens de la PMS.
C’est triste, je me souviens d’un temps où on s’échangeait nos adresses avec la promesse de s’écrire de longues lettres … J’aimais bien ce monde communication pour « rester en contact ».
D’ailleurs, l’idée de rester en contact a le don de me dépiter. Ou comment facebook peut concilier le mépris d‘une personne dans la vraie vie avec la très belle phrase : « on se croisera sur facebook ».
Oké : donc en vrai je suis ignorable mais sur facebook je suis fréquentable. C’est pas que j’ai envie de dire « nard Co » mais disons que je le hurlerai bien !!! Juste pour me défouler car en vrai, je ne le pense pas … hélas.
Je suis en train de réaliser que sur le moment, j’ai adoré « prendre ce râteau ». C’était la première fois que je vivais un truc de ce genre. C’était à mon tour d’être la triste héroïne dont le cœur est piétiné par ignorance, par timidité, par vengeance. J’ose espère que cela n’a pas été fait par méchanceté.
J’avais des frissons dans le ventre, le cœur qui battait très fort, une furieuse envie de courir, de faire quelque chose de stupide et l’impression que ma tête ne me commandait plus. Je marchais et seul m’importait ce désir furieux empli de pourquoi, d’envie de montrer que je valais mieux que son snobisme. J’étais aussi jalouse de celle à laquelle il parlait alors qu’il m’évitait.
Je voulais être le centre de son monde et je voyais ça comme un défi ! Il me fallait réussir …
« En amour comme à la guerre tous les coups sont permis ».
Je n’ai pas osé obéir à cet adage … finalement, je suis restée moi-même malgré tout !
En fait, pour résumer, ça a été la semaine des premières fois :
-premier 50cl de bière dans un bar
-premier râteau
-première tentative de vie en collectivité sur le long terme
-première fois que j’arrive si bien à cacher le fait que je n’appréciais pas certaines personnes
-première fois, paradoxalement, où je me suis laissée entrainer par le groupe : ne pas cacher des choses que j’aurai dû taire, sortir le soir, n’être jamais ou presque seule
-première fois que j’ai mangé avec des personnes qui m’enrageaient. Adieu mon principe du « mieux faut être seule que mal accompagnée ».
-première coupure avec ma famille
-premier découvert (mdr)
-première reconnaissance militaire … je suis officiellement Second Maitre.
-première fois que je laisse passer autant de temps sans penser à des détails pratiques et futiles comme où je vais l’année prochaine, Est-ce que j’aime toujours le droit, qu’est-ce que je veux faire plus tard, comment va maman, comment va Mathieu …
Et là, je me demande qui je suis vraiment. Suis-je moi quand je fais n’importe quoi en groupe. Où alors, le suis-je quand je suis seule et raisonnable ?
13h : j’espère qu’il y aura une boulangerie en gare de Nantes !
Parce que j'ai strictement rien à manger et à boire.
De retour de Brest … enfin, tout est relatif. Je suis dans le train depuis 9H ce matin mais j’arriverai à Toulouse que ce soir à 21h15.
Il est 12h16 … il me reste encore quelques heures à passer dans cet objet roulant identifié.
Je suis partie il y a exactement 19 jours. C’est la première fois que je passe un moment aussi long en dehors de la maison.
Je suis mitigée à l’idée de rentrer. Vivre sur une base avec des gens qui pensent pour vous est très rassurant. On se sent à l’abri, les intrus ne sont pas autorisés et il y a des règles pour tout (mais aussi n’importe quoi).
Je suis un peu triste de quitter ce club med marine (visites de bateau, sorties en mer, balade en bord de mer, barbecue etc)
Je suis beaucoup triste de quitter certaines personnes sans avoir U le temps de faire ce que je voulais vraiment. Je sens que je vais regretter de ne pas avoir assouvis une envie d'un baiser sauvage et caché pendant encore quelques temps :p
Je suis soulagée de rentrer. Je commençais à me perdre en cours de route : passer toutes mes soirées de libre dans un/des bars, raconter mes sentiments à un peu tout le monde, trainer qu’avec des mecs … Il se peut aussi que j’ai un peur de ce que j’aurai pu devenir à rester là bas. Oh non, je ne dis que j’allais passer de la fille sage à la fille qui fait n’importe quoi. Simplement il est possible que l’influence militaire, du groupe me soit plus néfaste que je ne le pensais.
Je suis pressée de rentrer pour me retrouver : avoir le temps de lire, dormir quand je veux et surtout jusqu’à l’heure que je veux, de pas devoir petit déjeuner de 6h30 à 7h, déjeuner de 11h30 à 12h30, diner de 18h30 à 19h.
Je suis contente de rentrer pour récupérer trois semaines de courtes nuits (je ne comptes pas les semaines de révision avant mon départ …)
Je suis très contente de rentrer pour éviter une certaine personne.
Maintenant, je vais devoir digérer un regret, des remords, essayer de redevenir moi (la fille trop sage mais fidèle à elle-même).
Boire pour oublier, c’est d’une banalité effarante ! Je m’en veux d’avoir voulu faire comme tout le monde alors que je ne suis pas ce genre. Cependant, je dois avouer que sur le moment c’était très drôle ! C’est toujours ça de pris !
Je dois aussi m’inscrire sur facebook … je vais renier un de mes principes (un de plus, un de moins, question d’appréciation mdr)
Il se retrouve que pour rester en contact avec les gens, il semblerait que ce moyen soit le seul qui existe au monde.
Les gens ne veulent pas être fichés mais voilà qu’ils sont prêts à donner tous les détails de leur vie sur ce site mondial … faudrait qu’on m’explique !
Certes je m’inscris sur facebook, mais je vais suivre les bons conseils d’Antoine (un gentleman, un vrai ;) ). A savoir mettre mon nom, mon age et basta. Le but n’est pas d’étaler ma vie (j’ai ce blog pour ça) mais je pouvoir garder un lien avec les gens de la PMS.
C’est triste, je me souviens d’un temps où on s’échangeait nos adresses avec la promesse de s’écrire de longues lettres … J’aimais bien ce monde communication pour « rester en contact ».
D’ailleurs, l’idée de rester en contact a le don de me dépiter. Ou comment facebook peut concilier le mépris d‘une personne dans la vraie vie avec la très belle phrase : « on se croisera sur facebook ».
Oké : donc en vrai je suis ignorable mais sur facebook je suis fréquentable. C’est pas que j’ai envie de dire « nard Co » mais disons que je le hurlerai bien !!! Juste pour me défouler car en vrai, je ne le pense pas … hélas.
Je suis en train de réaliser que sur le moment, j’ai adoré « prendre ce râteau ». C’était la première fois que je vivais un truc de ce genre. C’était à mon tour d’être la triste héroïne dont le cœur est piétiné par ignorance, par timidité, par vengeance. J’ose espère que cela n’a pas été fait par méchanceté.
J’avais des frissons dans le ventre, le cœur qui battait très fort, une furieuse envie de courir, de faire quelque chose de stupide et l’impression que ma tête ne me commandait plus. Je marchais et seul m’importait ce désir furieux empli de pourquoi, d’envie de montrer que je valais mieux que son snobisme. J’étais aussi jalouse de celle à laquelle il parlait alors qu’il m’évitait.
Je voulais être le centre de son monde et je voyais ça comme un défi ! Il me fallait réussir …
« En amour comme à la guerre tous les coups sont permis ».
Je n’ai pas osé obéir à cet adage … finalement, je suis restée moi-même malgré tout !
En fait, pour résumer, ça a été la semaine des premières fois :
-premier 50cl de bière dans un bar
-premier râteau
-première tentative de vie en collectivité sur le long terme
-première fois que j’arrive si bien à cacher le fait que je n’appréciais pas certaines personnes
-première fois, paradoxalement, où je me suis laissée entrainer par le groupe : ne pas cacher des choses que j’aurai dû taire, sortir le soir, n’être jamais ou presque seule
-première fois que j’ai mangé avec des personnes qui m’enrageaient. Adieu mon principe du « mieux faut être seule que mal accompagnée ».
-première coupure avec ma famille
-premier découvert (mdr)
-première reconnaissance militaire … je suis officiellement Second Maitre.
-première fois que je laisse passer autant de temps sans penser à des détails pratiques et futiles comme où je vais l’année prochaine, Est-ce que j’aime toujours le droit, qu’est-ce que je veux faire plus tard, comment va maman, comment va Mathieu …
Et là, je me demande qui je suis vraiment. Suis-je moi quand je fais n’importe quoi en groupe. Où alors, le suis-je quand je suis seule et raisonnable ?
13h : j’espère qu’il y aura une boulangerie en gare de Nantes !
Parce que j'ai strictement rien à manger et à boire.
mardi 9 juin 2009
Up and down ...
UP
Ce matin, j'ai réussi mon code !
C'est génial, je suis super soulagée, tout va bien.
J'ai célébré ça en rendant honneur à mes premiers cassis (ceux qui se mangent, pas les ralentisseurs). Voici un cake cassis et banane.
Je n'aime pas trop les cassis "natures". Ils sont acides.
En revanche, après cuisson, ils sont très doux, sucrés et fondant.
Ce qui fait que j'adore les mettre dans des gâteaux.
La recette :
250g de farine, 150g de sucre, 3 œufs, 1 sachet de levure, un petit verre de jus d'orange, 50g de beurre fondu.
Tout mélanger, rajouter deux bananes écrasées. Il ne faut plus distinguer des morceaux de bananes. (Vive le fouet électrique ;))
Rajouter le cassis.
Beurrer un moule à cake, enfourner à 180°.
Inutile de chercher la recette dans le livre de la dernière image car elle n'y est pas. Il m'a été utile seulement pour avoir la base la pâte.
Down
En fin d'aprem, j'ai U la première partie de mes résultats ...
Ce n'est pas d'un cake au cassis que j'avais envie mais d'un au chocolat ... anti-dépression !
Ce matin, j'ai réussi mon code !
C'est génial, je suis super soulagée, tout va bien.
J'ai célébré ça en rendant honneur à mes premiers cassis (ceux qui se mangent, pas les ralentisseurs). Voici un cake cassis et banane.
Je n'aime pas trop les cassis "natures". Ils sont acides.
En revanche, après cuisson, ils sont très doux, sucrés et fondant.
Ce qui fait que j'adore les mettre dans des gâteaux.
La recette :
250g de farine, 150g de sucre, 3 œufs, 1 sachet de levure, un petit verre de jus d'orange, 50g de beurre fondu.
Tout mélanger, rajouter deux bananes écrasées. Il ne faut plus distinguer des morceaux de bananes. (Vive le fouet électrique ;))
Rajouter le cassis.
Beurrer un moule à cake, enfourner à 180°.
Inutile de chercher la recette dans le livre de la dernière image car elle n'y est pas. Il m'a été utile seulement pour avoir la base la pâte.
Down
En fin d'aprem, j'ai U la première partie de mes résultats ...
Ce n'est pas d'un cake au cassis que j'avais envie mais d'un au chocolat ... anti-dépression !
Inscription à :
Articles (Atom)